« Si celui qui parle est fou, que celui qui l’écoute soit sage et si ton ami devient un âne,

ne monte pas sur son dos »

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Tarek et Margareth vivent confortablement avec leurs trois enfants et leur nourrice dans une grande maison au milieu des orangers, des figuiers et des grenadiers.

 

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C’est une famille heureuse, sans histoire, qui évolue entre modernité et respect des traditions, jusqu’au jour où tout bascule …

 

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Au commencement, il y a les bruits de la rue, avec ses rumeurs et ses manifestations, puis la révolte avec ses grèves et ses arrestations et voilà qu’un groupe d’hommes armés veut faire régner sa loi par la terreur. Une folie meurtrière s’empare du pays entraînant la guerre civile.

 

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La famille « Azem » sous le choc cherche à comprendre puis à se défendre pour faire respecter leurs droits et protéger leurs intérêts.

 

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Après l’incompréhension, la lutte et la résistance, vient le temps de la résignation.

Comment vivre quand on est privé de liberté, bafoué et bâillonné ?

Comment échapper aux menaces, aux massacres quand la délation et la corruption sévissent ?

 

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Pour Tarek, il n’y a pas d’autres solutions pour échapper à la haine et l’emprise des tyrans que fuir. « Il faut Partir pour rester vivant ».

 

En leur montrant le chemin qui les conduira « là-bas au pays des libertés », Tarek pense mettre sa famille à l’abri, mais le voyage est long et périlleux …

 

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« La liberté coûte très cher et il faut, soit se résigner à vivre sans elle,

soit se décider à la payer son prix »…

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